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Notes Bibliographiques : Champlain CHAREST, CAN
Notes Bibliographiques
 
Anne Richer, rencontre... Champlain Charest
Charles Carson en compagnie de M. Champlain Charest, médecin- restaurateur, grand collectionneur de vins, amoureux collectionneur d’art. Rappelons que le Bistro à Champlain situé à Sainte Marguerite du Lac Masson abrite plus de 35 000 bouteilles, et que c’est avec Riopelle, présent sur les murs, qu’il s’en était porté acquéreur en 1974. Les deux hommes s’étaient connus à Paris en 1968 et n’étaient pratiquement jamais éloignés l’un de l’autre longtemps.

L'art de Vivre

Édition Américor- média

Charles Carson, sa vie son oeuvre.
ISBN 978-2-9810740-0-3

Anne Richer,
Journaliste a LA PRESSE depuis 1968.

Rencontre...
Champlain Charest,
Médecin- restaurateur, et grand collectionneur d’art.

«Pour moi la technique mosaïque de Carson évoque un peu les tableaux que Riopelle faisait dans les années 1950. Coups de spatule, progression du tableau vers un endroit bien précis. Il y a un sens au tableau, un endroit où le regard s’accroche, converge vers le centre de ce tableau-là, tel qu’on le retrouve chez les peintres abstraits : donc pour moi la lumière vient d’en arrière du tableau, passe au travers et se projette devant soi».

Doit-on comparer les deux artistes et se contenter de ce regard rapide sur leurs oeuvres aussi fortes?

«Dans l’oeuvre de Carson il y a une recherche multicolore qu’on ne retrouvait pas chez Riopelle; avec le rouge par exemple, ou le bleu, le tableau entier était presque tout rouge ou tout bleu. Ici c’est la densité des différentes couleurs qui fait la différence d’avec Riopelle. C’est un véritable foisonnement».

Champlain Charest veut être plus précis : «Bien sûr Riopelle utilisait des couleurs, mais l’ensemble du tableau montrait moins de ces coups de spatule,moins de couleurs en transparence dans chaque coup de spatule. Il faut une habileté extraordinaire pour arriver à ce résultat, selon moi.»

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Joyau des Laurentides - Le Bistro à Champlain
Flèche Mag - Le magazine des laurentides - mars 2009

Joyau des Laurentides

Le Bistro à Champlain
Un nid de passions

L’histoire de cet endroit unique au Québec a commencé il y a plus d’un siècle. Repaire d’artiste, dont Jean Paul Riopelle n’est pas le moins célèbre, le Bistro à champlain demeure le foyer des passions les plus ardentes.

Par Mireille Villeneuve

«En 1864, au milieu du charmant village de Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson, un magasin général ouvre ses portes. Quelques années plus tard, le vent dans les voiles, le commerçant fait construire un ajout pour lui et sa famille. Le commerce et la maison, ainsi que la figure de proue d’un navire devant le lac majestueux, défient vents et marées jusqu’en 1974.»

«Sur les murs, on peut admirer les coups de cœur de monsieur Charest pour plusieurs peintres québécois. L’un deux, Charles Carson, ne laisse pas indifférent. Sa technique rappelle celle de Riopelle, mais avec une façon très personnelle d’agencer les couleurs. Ses mosaïques vibrent sur les murs du bistro.

Champlain Charest a réussi son pari et son bistro peut se vanter de voguer sur un succès aussi mérité que remarquable.»

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