Charles Carson : Caisse Desjardins - Magazine Appartenance - Volume 02 - numéro 02 – printemps 2007

Caisse Desjardins - Magazine Appartenance - Volume 02 - numéro 02 – printemps 2007

Caisse Desjardins, du personnel de l’administration et des services publics.
Place Jean Paul Riopelle, Montréal, Québec. Canada

Magazine Appartenance
Volume 02 - numéro 02 – printemps 2007

Patricia Miotto – Photo : Maude Chauvin

Pour le plaisir des yeux

L’artiste Charles Carson, médaillé d’or de l’A.I.B.A.Q au Musée des beaux-arts de Montréal pour l’excellence de son œuvre. Pour le plaisir des Yeux, vous pourrez observer l’œuvre de l’artiste international Charles Carson à l’accueil du centre de services de Montréal de la Caisse Desjardins. Comme vous pourrez le constater, la toile ''Reflet d’automne petite rivière du Nord'' est pour son créateur une dynamisation de la surface afin de lui donner un état autre, dans lequel s’anime un univers suggestif puissamment métaphorique à notre centre de services de Montréal.

Caisse Desjardins - Magazine Appartenance - page 27

Charles Carson
L’INSPIRATION VA AU-DELÀ DES FRONTIÈRES…
UN ARTISTE QUI SAIT COLORER NOS VIES…ET MÊME CELLE DE BILL CLINTON.

APPARTENANCE

«C’est comme appartenir à une grande famille. Quand je rentre à la caisse Desjardins, j’ai l’impression de rencontrer ma famille; les gens sont chaleureux et accueillants… on est reçu comme à la maison!»

PROFIL ET PARCOURS

Originaire de Montréal, Charles Carson a vécu dans des coins retirés de campagne durant plusieurs années. C’est sûrement là qu’il a pu développer ses talents de peintre avant se s’exiler en Amérique du Sud, où il à vécu pendant 10 ans. « J’avais envie de vivre et de connaître autre chose, dans le domaine de l’art, de la recherche, de la culture. J’adore la plongée, les fonds marins m’inspirent beaucoup!» déclare l’artiste. Et on les retrouve particulièrement sur certaines de ses toiles qui sont exposées à la Galerie d’art Richelieu, à Montréal.

Pour le plaisir des Yeux, vous pourrez observer l’œuvre de l’artiste international Charles Carson à l’accueil du centre de services de Montréal de la Caisse Desjardins.

Comment la peinture est-elle venue dans sa vie? Comme tous les bambins, Charles Carson aimait gribouiller, mais sa technique, il l’a développée principalement sur le terrain. « Ça fait 30 ans que je peins, je voulais développer une technique, une forme de peinture différente, car je trouve que c’est trop banal de peindre ce qu’on voit. J’ai donc voulu dématérialiser les paysages avec des formes plus abstraites et figuratives. D’ailleurs, de nombreux historiens d’art ont fait des recherches sur ma technique et ont constaté que je suis le seul au monde à peindre de cette façon-là : le carsonisme est né!» explique-t-il. Toutefois, il nous révèle que sa technique a pris son élan ici au Québec, grâce aux paysages d’automne qui le fascinent. « Étant passionné de pêche, les reflets des rivières m’ont toujours intrigué, ainsi que les feuilles d’automne…» que l’on retrouve dans ses œuvres de technique mosaïque. À 50 ans, Charles Carson estime qu’il est une personne simple : « Je n’aime pas me casser la tête avec la vie. Au contraire j’aime suivre son courant, c’est la meilleure façon de prendre la vie!»

RÉALISATIONS

Sa technique particulière a fait naître des écoles de «carsonisme» partout dans le monde. En outre, Charles Carson est également fier d’être le futur invité d’honneur à l’Académie européenne des arts à Paris. Parmi ses nombreux clients provenant des quatre coins du monde, en 2003 la galerie qui le représente à Boston a vendu une de ses œuvres à nul autre que…Bill Clinton! Et tout récemment, un autre bonheur s’ajoute au tableau de ses réussites : la naissance d’un magnifique bambin, né de sa relation avec une charmante Cubaine.

«JE N’AIME PAS ME CASSER LA TËTE AVEC LA VIE.
AU CONTRAIRE, J’AIME SUIVRE SON COURANT…»

RËVES

Toujours à la conquête de l’inédit, avec cette soif d’apprendre et de comprendre, Charles Carson est aussi très attiré par l’archéologie : « Je suis fanatique de l’époque égyptienne. Tout ce que je vis, j’essaie de le transmettre par l’art.»





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